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 La séve de Bouleau Fraîche comme j'aime ♥♥♥

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Vannades
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Vannades


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MessageSujet: La séve de Bouleau Fraîche comme j'aime ♥♥♥   La séve de Bouleau Fraîche comme j'aime ♥♥♥ EmptySam 28 Mar - 8:03

La Sève de Bouleau fraîche

Si l’on doit donner une seule raison valable de faire régulièrement la cure de sève de bouleau fraîche, la découverte britannique sur les ravages de l’aluminium (ARTE 12/03/2013 Bert Ebgartner) omniprésent dans l’alimentation, bio ou non, se suffit à elle-même.

Car le seul antidote connu de l’aluminium est le silicium organique naturel, présent dans les légumes et fruits frais crus, et en particulier dans la sève de bouleau fraîche, naturelle, non pasteurisée. À cela bien sûr on ajoutera l’effet reminéralisant de la sève fraîche pure, une action sur les cartilages et les douleurs articulaires, nettoyage général des organes, de la peau, etc.

Quels bienfaits peut apporter la sève de bouleau ?

La sève de bouleau reminéralise l’organisme tout en drainant les organes tels que le foie et les reins en particulier. Riche en anti-oxydants, elle permet une meilleure utilisation de l’oxygène. Elle débarrasse des toxines en favorisant leur élimination. La peau reprend de l’éclat, le psoriasis et l’eczéma sont très diminués et parfois disparaissent.

Comment agit-elle ?

La sève de bouleau agit sur les taux de cholestérol (bon et mauvais), réduit considérablement les excès d’acide urique (il faut plusieurs cures consécutives si ce taux est élevé). Elle supprime peu à peu les œdèmes. Elle peut déloger de vieux « capitons » graisseux. Les cheveux retrouvent leur brillance. La sève de bouleau est aussi excellente contre les douleurs rhumatismales, les douleurs articulaires. Elle lutte contre l’asthénie, contre le manque d’appétit. Elle est excellente aussi contre la constipation comme contre la diarrhée. Elle permet à la fois un grand nettoyage de printemps et la reminéralisation du corps tout en le revivifiant !

Que contient-elle pour rendre de tels services à notre corps ?

La sève de bouleau est très proche, par sa composition et selon les auteurs, du lait maternel, du sang et de l’eau de mer (le Chlorure de sodium en moins). Dans les pays nordiques autrefois, lorsqu’une mère manquait de lait pour son bébé, elle le nourrissait en particulier de sève de bouleau.
La sève de bouleau est riche en sels minéraux tels que le calcium, le magnésium, le sodium et surtout le potassium.

Elle contient des oligo-éléments tels que cuivre, fer, manganèse et en particulier du zinc trop rare dans l’alimentation. Elle contient des mucilages, des flavonoïdes, des hormones végétales dont l’acide Abissique (ABA). Elle contient également 17 acides aminés dont l’acide glutamique (revivifiant, stimulant de l’appétit de vivre !). Elle contient aussi des cytosines, des sucres sous forme de fructose (de 0,5 % à 0,2 %). La sève de bouleau contient encore 2 hétérosides : le Bétuloside et le Monotropitoside qui, selon le Dr Tetau, libère par hydrolyse enzymatique du salycicate de méthyle, un analgésique, anti-inflammatoire et diurétique efficace. Elle contient enfin de nombreux antioxydants.

Le plus important de tout

Sa teneur en silicium organique naturel.
Selon les études britanniques l’aluminium est responsable de la création de nombreux cancers et de sa diffusion dans le corps sous forme de métastases. Utilisé pour diffuser les vaccins, l’aluminium diffuse le cancer par les métastases. Or l’aluminium est partout, dans l’eau, les conserves alimentaires, les couvercles de yaourts et produits frais, etc. on ne peut y échapper.

La dernière découverte britannique sur les ravages de l’aluminium justifie l’importance irréfutable des cures de sève de bouleau fraîche.
Très riche en silicium organique, cet élément est l’antidote le plus efficace contre l’aluminium.

Comment réalise-t-on l’extraction de la sève ?

L’extraction de la sève se fait in vivo, directement sur l’arbre qui reste vivant, entier. Pour que l’arbre ne soit pas lésé, cette extraction de fait durant la montée de la sève qui jaillit avec une telle puissance que certains comparent cette récolte à une éjaculation qui dure deux mois. Étant donné la taille impressionnante, leur diamètre de 25 à 50 cm et l’âge très respectable (de 20 à 80 ans !) des bouleaux concernés, cette image éjaculatoire est un profond symbole de re-naissance, de source de vie.

Selon la qualité du sol, la capacité de sève d’un seul arbre est de 3 à 600 litres ! L’arbre nous donne son supplément, la sève dont il n’a pas besoin. Les arbres fragiles ou vivant sur un sol pauvre ne donnent pas de sève.
Origine et choix des arbres.

En quelles quantités ?
Les arbres sélectionnés se trouvent en moyenne montagne, par exemple dans le sud du Jura, dans des terrains riches en humus grâce à la présence d’essences très variées. Ces terrains sont aussi très argileux et calcaires. De la qualité du sol dépend la richesse en sels minéraux et en oligo-éléments.

Période de récolte
C’est aux nouvelles lunes du printemps que la sève a la plus grande énergie, qu’elle monte avec la plus grande force. C’est la lune du réveil de la vie.

Depuis quelques années, le printemps arrive à des dates qui peuvent s’éloigner sensiblement du 21 mars, parfois de quelques semaines en avance. C’est pourquoi le choix du moment exact de la récolte n’est pas lié uniquement à la période lunaire, mais il faut, pour tomber juste, observer le chant des oiseaux, l’apparition des premiers papillons jaunes, le réveil des coccinelles, des limaces et de certains insectes. Nous devons nous adapter très exactement à l’apparition de ces phénomènes naturels pour commencer la récolte tandis que la sève monte avec puissance.

Comment accéder à la sève ?
À l’aide d’un vilebrequin (ou parfois d’une perceuse fonctionnant sur batterie) nous creusons un trou d’environ 5 cm de profondeur à environ 50 cm du sol (plus ou moins haut selon l’âge de l’arbre). L’écorce de ces arbres est généralement très épaisse et craquelée en ce qui concerne les vieux arbres. Nous introduisons alors un tuyau de plastique de qualité alimentaire qui déverse la sève dans un bidon de telle sorte que la sève soit le plus possible à l’abri de l’air. Si le moment de la perforation de l’arbre est juste, la sève coule immédiatement en abondance. Chaque bison de 5 litres ne sert qu’une fois et est immédiatement vidé dans un sac sous vide d’air (bag in box) qu’un camion frigo achemine immédiatement vers les destinataires qui reçoivent ainsi une sève absolument fraîche, à l’abri de l’oxydation.

La récolte se fait au pas de course. Les forêts sont assez éloignées du camp de base de récoltants qui doivent se déplacer en voiture et à pied et faire en sorte que la sève soit livrée aux consommateurs dans les 24 heures qui suivent l’extraction. C’est une organisation en équipe, une équipe qui travaille dans le froid, la neige, sous la pluie et le vent dans des conditions d’hygiène rigoureuses afin d’assurer la plus grande fraîcheur de la sève.

Celle-ci n’est pas pasteurisée, c’est un produit frais et vivant, ce qui lui confère toutes ses capacités régénératrices sur l’organisme.
 Tout le monde peut-il en boire ?

Les effets secondaires sont directement liés à l’état de la personne qui fait la cure. Plus une personne est encombrée, plus son hygiène de vie est mauvaise, plus elle a besoin d’éliminer. Des selles plus abondantes, parfois nauséabondes, des urines plus fréquentes, plus chaudes, plus foncées peuvent apparaître durant quelques jours. Les personnes dont l’hygiène de vie est déjà très bonne n’ont pas ces inconvénients, mais les autres découvrent alors à quel point elles ont besoin de se détoxiner.

Dans les pays du Nord les bébés buvaient de la sève de bouleau ; il n’y a pas d’âge minimum pour commencer. Il n’y a pas d’âge limite non plus. Tous les spécialistes de la sève de bouleau sont d’accord pour dire que tout le monde peut en consommer. Mais nous conseillons tout de même aux personnes dyalisées et à celles qui sont atteintes de pathologies graves d’en référer à leur médecin, de se faire suivre normalement par le médecin.

Suivre les saisons

Durant des millénaires, l’homme n’a pas eu d’autre choix que de se nourrir au fil des saisons. Ce fut mon cas toute mon enfance en Polynésie, pays d’origine de ma famille maternelle. Nous faisions des cures de papayes, de mangues, d’avocats, de tomates, de poivrons, de poireaux, de coquillages ramassés sur le récif à certaines saisons. La nature produisait, il n’y avait ni conserves, ni séchage (à cause de l’humidité), ni confitures (pas de sucre !), ni compotes (pas de bocaux !) ni congélation ! Voilà comment naissent les cures. Plus tard, on se souvient de leurs bienfaits, on essaie de les transmettre, on pose sur elles des termes savants pour essayer de convaincre. Ce qui est sûr, c’est qu’elles font le plus grand bien ! Et qu’il serait bien dommage de ne pas en profiter, car elles restent un des seuls liens inaltérés de notre relation directe à la nature et aux saisons.

Il faut tout de même savoir que tout ce qui pousse dans les pays tempérés vient des régions tropicales. Tout, absolument tout pousse sous les Tropiques, selon l’altitude à laquelle on se trouve. Les régions tropicales ne sont pas limitées à des bords de mer avec cocotiers, papayes et mangues ! Que ce soit en Polynésie ou au Mexique, les montagnes de 2 400 à 5 000 mètres d’altitude permettent absolument toutes les cultures et ne s’en privent pas ! Ce sont ces pays qui ont fourni à l’Europe, depuis le Moyen-Âge, les poireaux, oignons, fraises, tomates, aubergines, poivrons, pommes de terre, etc. que certains ignorants imaginent avoir surgi spontanément de notre sol !

C’est le printemps !

Le temps des grands nettoyages, de la régénérescence !
Il y a bien longtemps, dans nos pays tempérés, à la suite de bouleversements planétaires qui ont enseveli des cocotiers et des mammouths au nord de la Sibérie près du pôle Nord, des hommes et des femmes, qui n’avaient vécu jusque-là que dans des zones tropicales douces et riches en fruits et en légumes, se trouvèrent brutalement dans un pays froid et dépourvu de l’abondante flore, source de vie.
Pour des raisons encore mal connues1, la terre avait basculé d’un quart de tour, installant l’équateur à la place des pôles.

Les habitants des régions les plus chaudes virent très vite disparaître les arbres fruitiers de quarante mètres de hauteur, ensevelis, remplacés rapidement par la glace, la toundra, la steppe, suivie de forêts de bouleaux. Il fallut se protéger du froid et se mettre à tuer des animaux pour se nourrir. Le corps habitué aux végétaux commença à s’acidifier et s’encrasser.

Tous au Bouleau !

Le bouleau, lui, est vraiment l’arbre fondateur de la forêt des régions boréales et tempérées froides. Durant les hivers froids, enneigés, ce qui est le cas cette année, il concentre dans sa sève toutes les qualités vitales les plus fondamentales pour notre squelette, nos ligaments, nos muscles, nos cartilages, notre peau, nos cheveux. Plus l’hiver est froid et long, plus la sève est concentrée : silicium organique, magnésium, calcium, oligo-éléments, enzymes, acides aminés. Voilà pourquoi il est si important de saisir le moment exact où la sève de bouleau jaillit, abondante, telle une fontaine, comme un cadeau de la terre et du soleil !

Il ne nous reste plus qu’à faire tinter nos verres à l’eau légèrement pétillante de la sève de bouleau !

Cures de printemps, une alternative au jeûne

Le printemps est, par le carême, la période traditionnelle du jeûne dans les pays de civilisation chrétienne. Toutes les religions abondent en excellents conseils d’hygiène vitale.

Après l’encrassement inévitable lié à l’alimentation de l’hiver, notre corps a un très grand besoin de nettoyage, mais aussi de se régénérer. Tout le monde n’est pas apte à mener un jeûne suffisant de quelques semaines pour être efficace. Trois jours sans manger ne constituent pas un jeûne, ce n’est qu’une diète. C’est là que les cures de printemps apparaissent très utiles. Cures de fruits, de jus de légumes, cures de cru, ou de graines germées durant une semaine à trois semaines sont les bienvenues.

Beaucoup plus faciles à tenir qu’un jeûne pour la plupart des gens, elles ont la qualité de nettoyer et régénérer l’organisme. On peut les moduler en se préparant des salades assaisonnées d’huile crue de première pression et de jus de citron qu’il faut, dans ce cas, préférer au vinaigre, afin de rester dans l’aliment simple non transformé.

Conseils pour une bonne cure

Il semble évident que si l’on veut profiter au mieux d’une cure de sève de bouleau, il est intéressant de l’accompagner d’une alimentation pauvre en charcuteries, fromages, produits laitiers, viandes, pâtisseries, sucreries, boissons sucrées et alcoolisées, tabac… Il est dommage d’encrasser le corps tout en le drainant ! Les résultats ne peuvent être que meilleurs.

La sève de bouleau doit être gardée en bouche sous la langue un moment avant de l’avaler. En effet, les oligo-éléments sont absorbés en perlingual, c’est-à-dire autour de la langue. Exactement comme lorsque l’on utilise des produits homéopathiques.

Une cure correspond à 5 litres de sève que l’on consomme en trois semaines à raison de 250 centilitres par jour à prendre idéalement entre les repas.

Les connaisseurs peuvent profiter de cette cure pour faire un régime végétarien durant ces trois semaines, augmenter la part du cru par rapport au cuit, prendre le temps de mastiquer, déguster, savourer leurs aliments. C’est une période où l’on peut s’entraîner à ne plus sucrer son thé, à boire moins de café, à diminuer sensiblement le sel.

Les bienfaits d'une cure de sève de bouleau

Après les cures, les consommateurs disent qu’ils éprouvent un mieux-être, une légèreté vivifiante. Ils se sentent libérés de toxines.
De nombreux témoignages soulignent moins de fatigue, une peau plus belle, un regain d’enthousiasme, un meilleur entrain. Certains se sentent rajeunir, se remettent à faire du sport, à se prendre en charge.

Ceux qui font plusieurs cures consécutives peuvent découvrir que leur mauvais cholestérol disparaît, même s’ils n’ont pas modifié leur alimentation, ce qui est particulièrement vrai pour les personnes qui avaient déjà une alimentation convenable et ne comprenaient pas pourquoi elles avaient de mauvaises analyses. Pour d’autres, c’est l’acide urique qui disparaît, de même certains œdèmes s’en vont. Tous déclarent retrouver une bonne forme, se réjouissent du nouvel éclat de leurs cheveux. Beaucoup voient s’atténuer notoirement et même disparaître les douleurs articulaires, les enfants retrouvent l’appétit. Nombreux sont aussi ravis de voir leurs intestins fonctionner beaucoup mieux, qu’il s’agisse de constipation ou de tendance aux selles molles.



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